Oui, les femmes sont contradictoires et les aimer, c'est aimer leurs contradictions, car la seule logique, chez elles, c'est qu'il n'y en a pas. Sacha Guitry
J’ai dans mes dossiers To do depuis plus d’un an (ce serait donc plutôt tout doux depuis tout ce temps…) ce fameux papi british batteur et la 5ème et dernière étape de cette série d’amours coupables en musique (surprise !!).
On reprend donc la série des artistes que j’aime et que je cite dans les concerts que j’aimerais faire, sans honte aucune.
Après la bubble pop d’une mini-blonde (Kylie Minogue ici), la funky pop à mullet (Hall&Oates là), après la pop orchestrale et reniflante par un garçon esseulé (Christopher Cross ici), voici venu à présent l’homme aux mains d’argent et au cœur en chamallow. J’ai nommé…
J’ai du rechercher mon mot de passe. J’ai fait plusieurs tentatives infructueuses. Alors j’en ai créé un nouveau, le même que l’antépénultième probablement. Mais mon compte mail s’en foutait, et moi aussi.
J’ai pu rentrer à nouveau dans mon blog. J’avais envie de vous parler de ce morceau et de ce qu’il me fait. Je n’ai pas participé à la radio des blogueurs cet été, pas plus que les 2 dernières années, je manque cruellement de régularités sur ce blog… On va dire que si j’y avais participé, ce morceau aurait été mon morceau de l’été 2015.
Ce morceau, c’est « Electric Indigo » du groupe australien The Paper Kites. Découvert il y a 3 jours, il me hante. Sa rythmique, la voix lancinante du chanteur, la guitare, son clip romantique, j’aime tout.
Il a un côté 90 dans la guitare, dans le perfecto et les cheveux longs du garçon (un petit côté José dans cette chère série « Hélène et les garçons »). Ça me rendrait presque nostalgique…
Mais c’est parce que j’ai envie de parler d’un petit film vu hier soir et qui m’a tant plu.
Vincent n’a pas d’écailles, écrit, réalisé et joué par Thomas Salvador est une petite production sortie ce mercredi 18 février.
Je connais rien de Thomas Salvador mais à la lecture du titre, j’ai été intriguée. Et puis j’ai lu le pitch et là, ma curiosité est montée. Jusqu’à regarder la bande-annonce qui m’a accroché (avec cette accroche « Le premier film de super-héros français »), me décidant à aller voir le film.
Tout ça, c’est la faute de ma sœur. Elle adorait Christopher Cross et moi, j’étais tout le temps à la coller. Forcément, j’écoutais avec elle les chansons larmoyantes de ce pauvre garçon.
J’avoue, Christopher Cross, je ne connaissais de lui que la voix, la musique. Jusqu’à aujourd’hui où j’ai cherché des photos pour illustrer l’article. Et je ne regrette pas. C’est quand même formidable ce qu’on peut vivre avec un blog, hein !
Sa voix reste pour moi celle d’un jeune homme élancé, à chevelure blonde longue et bouclée à lunettes Ray-Ban Aviator.
Moi je suis ravie de vous retrouver pour le n°2 de cette petite série musicale-honteuse. Elle a fait parler, pas les morts mais mes copains et j’ai pu constater que la honte était partout. Comme l’eau, elle s’insinue dans les moindres recoins, même musicaux. Mais comme le disait la pub, c’est bon la honte.
Alors voilà, on continue notre voyage (non Désireless, rentre chez toi) avec un virage vers les USA des années 1970-80 avec… Là, je balance du lourd…. Vous aurez de tout : lecture, vidéo, son, photo. Parce que c’est un groupe qui me tient à coeur.
Une personnalité polymorphe à base de fille avec: de la musique, de la mode, de l'écolo-bio-green-décroissance attitude, du CUL, de la Culture, de la nourriture et de l'humour